Vous en avez assez de ces bourrelets qui dépassent vos jeans. Cela gâche tellement votre apparence, mais vous ne savez pas comment faire pour vous débarrasser une bonne fois pour toutes de cette graisse qui vous gêne. Voici des conseils qui vous permettront d’obtenir la taille de guêpe dont vous rêvez.
Le grignotage, un réflexe à éviter au maximum !
Pour éliminer les bourrelets (cette graisse stockée sous la peau), il faut commencer par ne plus manger d’aliments riches en sucres et en graisses. Mesdames, on évite donc dès aujourd’hui de trop manger de biscuits, de gâteaux, de chocolats, etc. Les aliments ayant un index glycémique élevé aussi sont à éviter. Ce sont les boissons sucrées, la purée de pommes de terre, les pâtes, la farine, entre autres. Cela ne sert à rien de faire des efforts pour éliminer vos graisses si vous n’arrêtez pas d’en stocker dans votre corps. Le grignotage est à éviter. C’est le roi du stockage. En grignotant, vous enchaînez des mini-graisses qui font les maxi-bourrelets. Préférez préparer et manger des repas équilibrés et variés. Les légumes, les fruits, les poissons, les pâtes complètes,… sont bons pour la santé et la silhouette. Il est aussi important de boire beaucoup d’eau et de pratiquer du sport !
A la recherche d’une technique radicale pour dire adieu à vos bourrelets ?
La solution radicale pour perdre du ventre comme par magie est la liposuccion. Il s’agit d’une technique de chirurgie esthétique permettant de faire disparaître vos bourrelets en un temps record. Le chirurgien effectuera une petite entaille au niveau de votre ventre pour aspirer les cellules graisseuses qui s’y sont accumulées. Cela ne prend que quelques heures seulement et est effectué sous anesthésie locale. Si ça vous fait peur, la liposuction sans chirurgie existe aussi. Cela consiste à utiliser un appareil innovant non invasif qui fera fondre vos graisses. Le traitement n’est pas douloureux. C’est même hyper confortable. Chaque séance dure 45 minutes, et les résultats sont visibles dès le troisième traitement.
